Ce matin au réveil, vous n'étiez pas au top. Courbatures, nez qui coule, humeur massacrante... Pourtant, la semaine est déjà bien avancée, donc ce n'est pas le lundi qui vous donne des maux de tête. Non c'est plus profond que ça. Et c'est un sacré virus qui vous scie les jambes et le cerveau. Mais, tel un Avenger, vous avez bravé la maladie pour vous rendre au boulot. Manque de bol, vous passez la pire journée de votre semaine. En marchant au radar, avec une tête de zombie et les remarques de vos collègues, vous décidez enfin de rentrer chez vous.
Mais, c'est une fois les pieds sous la couette et votre ordi prêt à diffuser vos séries préférées que le virus continue son envahissement. Dans une position ou une autre, Vous n'êtes pas bien. Vous avez beau vous dire que vous êtes mieux au lit qu'au boulot ou en cours, vous êtes malade et donc à fleur de peau. Un mélange de Hulk, combiné à l'ibuprofène. Allez courage, d'ici quelques jours, vous en rigolerez (ou pas).
Pour une fois, ce n'est pas votre séance de sport qui vous meurtrit les muscles. Jambes et bras sont endoloris, sans parler de votre cou. Ce sont les premiers signes de votre virus, qui commence lentement à vous miner le moral et dévorer votre énergie.
Et voici le combo utilme du "look" malade : un mix de Casper avec Rudy le rennes au nez rouge. Les yeux enfoncés dans la tête, avec généralement l’œil droit qui se barre d'un côté et le nez qui coule. Super classe, super glam, super malade oui ! Vous reniflez, toussez, souvent les deux en même temps toute la journée. Non vraiment, cette journée commence mal.
Vous le savez depuis votre réveil que votre tête est épouvantable. Mais, c'est plus fort que tout : vos collègues et vos amis ne peuvent s'empêcher de vous faire remarquer que clairement vous ne ressemblez à rien aujourd'hui. Pourtant vous avez tenté de mettre un peu plus de fond de teint, ou au contraire de ne rien faire plus, mais il y a toujours des gros relous qui vous diront à longueur de journée que vous êtes un zombie.
Vous avez le niveau de batterie en dessous de zéro. Le moindre effort est une montagne. Même aller chercher un verre d'eau, vital pour votre guérison c'est hors de question. Vous préférez rester sous la couette, à suer toute votre fièvre en regardant le plafond. Au mieux, un de vos colocs va débarquer pour vous donner à boire et à manger, au pire, on vous retrouvera là dans quelques semaines, complètement desséché comme un pruneau.
Ibuprofène, sirop, pastilles pour la gorge, tout a le même goût : infâme. De toute façon, votre palais est anesthésié par la crève, mais cela ne vous empêche pas d'avoir des envies de vomir à chaque prise de médicaments.
Non ce n'est pas encore l'été avec les températures élevées. Ni la semaine printanière, qui est bien humide dans une bonne partie de la France. Des filets de gouttes perlent au-dessus de vos lèvres et/ou sur votre front. Ne cherchez plus, le virus est là. Et ne pensez que pas cette transpiration vous fera perdre du poids, elle vous fera juste changer de tenues/pijama plus de trois fois par jour.
En fait, le plus simple aurait été de vous promener avec un énorme au-dessus de votre tête : "Je suis malade, laissez-moi seul(e)". Que ce soient vos colocs ou l'élu(e) de votre cœur, tout le monde vous met sur les nerfs. et la moindre gentillesse vous donne de l'urticaire. C'est un peu votre double maléfique qui se réveille avec le virus. Attention quand même de ne pas envoyer bouler tout le monde : ce n'est pas très marrant de passer une semaine, tout seul au fond de son lit.
Vous avez beau essayer tous les remèdes possibles, les siestes à répétition et les films en boucle, vous savez bien que votre mère est la meilleure personne du monde pour vous guérir en ce moment. Et cela même si vous avez plus de 25 ans.
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